Mon atelier de confinement
Dans 100 ans, les historiens étudieront l’année 2020 à l’aune du COVID19.
Ils trouveront probablement étrange d’avoir assigné à résidence toute la population et mis en sommeil l’activité mondiale pendant plusieurs semaines. Quoi qu’il en soit, beaucoup ont mis ces vacances forcées pour faire de menu travaux ou de renouer avec leur passion. Pour ma part, ce fut un tête à tête avec mon chevalet.
Dans ces vues de l’atelier improvisé, vous allez reconnaître des toiles 2020 que je vous ai déjà présenté(es ?) ainsi que le lieu où elles sont nées.
(avec en prime une révision de grammaire !: « présenté » ou « présentées » ? )
Année 2020
Tout d’abord, revue d’effectif !
Les troupes en rang prêtes à l’attaque.
Après quelques manœuvres, c’est moins organisé.
Les mathématiciens appellent ça « l’entropie ».
Je ne résiste pas.
Un panoramique sur ma palette. Je pourrais peut être l’exposer ?
Vues du champ de bataille.
Ce qui ressemble à des assiettes de crudités, ce n’est pas le casse croûte de l’artiste, c’est une toile cirée que j’ai (habilement ?) subtilisée.
Bon ! n’exagérons pas ce n’est pas non plus un dépotoir.
Mine de rien c’est un peu rangé quand même !
J’y fais les tracés. . .
. . . et les mises en couleurs.
J’ai un autre tableau en cours. Mais chut, c’est un secret.
Celui là vous ne l’avez pas encore vu, donc gardons le mystère.
Bon confinement et déconfinement masqué !